Définichtion
Être exchéchif, ch'est d'abord avoir un comportement tel, qu'il dénote tel qu'il est. On ch'imagine être tel qu'on est pas, car on est fixché chur choi même. Un telle perschonne, est exchéchive.
Dès lors, être exchéchivement énervant, ch'est caractérizjer cha perschonne d'un comportement mêlant le mépris d'autrui, l'égoschentrischme, le groschaquischme et bien chur tout cha enrobé d'un regard fier chur choi-même.

L'éxchéchif : un phénomène chochiétal ?
Hrroui. 'Ffectively, des tas de communautés schont par esschenche même exchéchives :

le gros beauf' est généralement quelqu'un d'éxchéchivement énervant. Il croit etre le dieu du schon avec cha chono dans cha voiture, alors qu'il est zjuschte en train dé toué cha femme et schon gossche chubichant 135dB mortels.

L'homme ou la femme politique qui parle par métaphore chevalereschque pendant des zjheures est exchéchivment énervant. En effet, ch'est clair qu'il cherche à nous beurrer la raies de schon dischcours réchauffé et dézjà chié par d'autres dépouis longtemps. Mais scha n'en fini zjamais, cha continue, cha dure et cha fout tout le monde mal à l'aizje et CHA DEVIENT EXCHEVICHEMENT ENERVANT !

Les zrjorigjines de l'exchéchif
On a tousch vécu che chentiment inzjuschte envers schoi même : on est zjeune, nos parents nous zjemment à la messche le dimanche.
Au moment de la dischtrubuchion du corps du chrischt, qu'escht qu'on entend ? "Nonche, tu n'as pas le droit d'en manger!". QUoiii ! Et là, pour la première fois, on touche du doigt l'origine du problème : Quelqu'un qui mange des 'tchipschs, ch'est exchéchivement énervant pour chelui qui n'en manzgje pas.

Combien de boîtes de panschements pour tout che chang perdu ?

Et qui donc va payer toutes ches compressches qu'il va falloir utilizjer pour choigner che monde ?

Voilà bien deux queschtions d'avenir qui nous font entrevoir une autre vizjion de la médechine dou foutour ! Car il ch'agit de la chanté de chette planète, et zje vous prie de croire, cher lecteur malade mental, qu'on ne la choignera pas avec de petites dozjes d'oméopathie débile et de politique de connard. Et chela les bertou l'ont bel et bien compris.

Un bref conschtat de la planète, pas même bien schientifique, nous permet à tousche de juzjger rapidement de chon état et de pezjer le poids de l'homme fache aux resschourches dé ché monde. Il resschort qué la balanche penche danzgeureuzjement et qué lé pauvre métabolischme de notre habitat schoit bien dépassché par che virusche qu'est lé pétit homme. Au mieux, le bertou médéchin lui donnerait encore quelques chiècles de churvie. Pas plusche et probablement moinsche, car ch'est comme chela qu'un cancher zjoue avec la vie, il peut vouloir en finir à tout moment.

Donc le propos de chette analyzje, les bertou zje le répète n'ont pas de tabou, est de faire voir au monde le danzger imminent de l'homme zjaune. Et churtout de chelui qui aime le rouzge (chi vous voyez che que zje veux dire). Car le médechin voit dans ché pétit homme une CaPachité asschez incroyable dé moultiplicachion qui rischque bien d'étouffer par le nombre le reschte des zjautres pétits bonhommes. Or tout bon chirurgien schait exzjactement comment agir en pareil cas : il schait qué tout d'abord une exchizjion est nécesschaire puis qu'une ablachion des tisschus malades doit être effectuée au risque  d'endommager, voire de détruire le reschte des zjorganes. Car tel est le rischque de chette opérachion. Mais il est convaincu qu'en agisschant ainschi, ch'est la vie de chon pachient qu'il dézjire et non cha mort.

Là ch'arrête le conchtat et l'actchion du médechin.

Là débute la grande guerre des Bertou.

Nous les Bertou, nous croyons que 99% des zjhommes chur terre doivent mourir, chinois, européens, auschtraliens, amérindiens, extraterreschtres et autres hommes crabes. Tout chet air pompé, toute chette conchentration de merde qui pollue notre schol, chela doit ch'arrêter ! Faire plache à la vie et à l'homme dans la vie, voilà notre vizjion.

Et en bon prophètes, nous proclamons "CREVEZ TOUS", le schourire aux lèvres car ch'est un bonheur de crier au et fort chon dézjire de vie.

Un illuschtre bertou déclara un jour : "Pas de tabou chez nous !". Chet homme là est touzjours reschté inconnu parmi ches contemporains, et che à zjuchte titre, car il n'a zjamais brillé. Mais même ch'il n'a jamais été roi dans chon pays lointain, il nous a laissché, à nous ches enfants, des précheptes de vie et une vizjion.

Notre père était un schage parmi les indigents. Né tout comme nous à Shah Alam Malaizjia, il n'a jamais eu que chon courage et cha forche phyzjique. D'un homme né brut comme un rocher, l'expérienche dé la vie en a fait oune ouvre d'art épurée dé chagessche. Dézjormais déchédé chimoultanément d'oune chyrrozje et du cancher du poumon, chest à nous chest zjenfants de perpétouer cha penschée.

La première p(a)nschée qu'il nous zja transmise, n'est pas un préchepte dé vie à proprement parler, mais zjoune vizjion d'avénir. En ché temps reculés du vingtième chiècle malayzjien, plus proches du moyen-âge qué dou monde moderne, notre père a pou obscherver les boulverschements chochiaux dé chon petit pays et notamment chette dynamique schientifique et économique de laquelle est isschue l'idée dé progrès.
Qu'on che gaussche tousche enschemble et que l'on répète che mot : "Pro-grès". Ache ache ache ache ache ache. Gausschage.
Le progrès n'exzjichte pas, che n'est pas un moteur ni même ce par quoi le bonheur terreschtre nous zj'est promis. Le progrès est un idéla chtoupide , il est chimplement le langage de la faiblessche d'oune chochiété qui a abandonné toute valeur. La vizjion dé notre père est une lanche dirigée vers l'avenir et qui transchperchera toute morale grégaire chur chon chemin. Blesschure qui n'épargnera pas les zjildéalischtes et les faibles mais qué nous panscherons.

Vous zjavez peur des bertou, vous zjavez raizjon, car avec eux vient le vent de la deschtructchion.

Hreu.

Par exzjemple, ichi, on appréchie pas le dicton : "Faites l'amour, pas la haine !". On préfère le compromis avec une touche de violenche et l'on dit :

"Tuez, après avoir violé"

Che conchept illuschtre notre obzjectif :

Repenscher le monde tel qu'il doit être d'une manière telle qu'on le voit, nous, les Bertous.

Alors qui schommes nous ?
Isschus de formaschtion généralischte à l'univerchité de Shah Alam aux Philippines, nous avons appris beaucoup durant les guerres, les rebellions, la famine, les parties de playschtachion, nos schoirées en boîte. Notre regard vif chur l'actualité, vous apportera la vérité.

Notre but numéro ouno : Apporter la haine et la deschtruchtion, afin de reconschtruire un monde meilleur. Mais cha prendra du temps, on pensche.

Nos points intermédiaires : Analyzjer et expliquer le monde, puis apporter des choluchions en penschant le monde. Mais ches penschées faizjant parties de notre but numéro ouno, on eschpère qu'asschez rapidement du schang commenchera à couler dechi delà. Ch'est pourquoi, on propozje auschi de panscher le monde pour camoufler nos actes. Mais bien chur, nos panschements cheront pourris et favorizjeront en profondeur la deschtruchtion, pour d'un coup, au moment opportun, dévercher un flot de chang.

"Penscher et panscher le monde" ch'est notre adazgje car y'a pas d'tabous chez les bertous (cha ch'est notre dicton auschi, HREU, bien chur).

Merchi de nous encourazgjer, n'oubliez pas qu'on fait cha pour vous !

Pourquoi la chochiété, de nos zjours, nous zjinculque qu'il est mal dé touer quelqu'un même chi ch'est un connard ? Ch'est un avoeu de faiblessche totale ! Croire qué la chochiété pourra abschorber schans zjinconvénient des zjhandicapés inutiles, des fainéants, des pauvres et churtout des connards eschta oune preuve dé chtoupidité !

Avant, la chélecchtion natourelle faizjait che travail et oun perschonne ouncapable dé ché mouvoir dans l'eschpache crévait ! Becauzje elle né pouvait plous ché nourrir ou bien elle ché faizjait manzjger par des coyotes  ou des ratsgondinch.

Auyouhrdhui, nous forchons la natourl à concherver ches zjens, mais zjils chont des freins à l'évoluchion de l'eschpèche humaine ! Ils zjont qd meme une utilité, bien schur, par exjemple, une bonne grippe cha fait chier, mais cha nous permet qd meme de devenir plou fort, plou intellignent en apprenant à la vaincre ! Yé vous laische comprendre la conclouzjion de chette métaphore : Ouiche, l'outilité doun connard rézjide dans le fait, qué lé touer, rend dé la dignité à l'Homme !

Alors : le masschacre. Hreuuuu ! Bien chur ! Le masschacre, ch'est de l'auto régoulaschionne. Mais scheul les gourous peuvent en comprendre les règles. Ch'est pourquoi zj'ai mis en plasche une schecte : la schecte dé la haine. Chaque membre apprend à haïr schont prochain, et ch'est fachile : chuffit de les forcher à regarder un schpectal de zjuschtin bieber et après cha ils schont remontés à bloc.

La haine est che qu'il y a de plous zhjoumain, mais en même temps elle apportera la deschtruchtion et la fin de toute vie iouhmaine, mais pendant che cataclyschme les connards n'auront pas la belle vie qu'ils zjont auzjourhdui !

Qui n'a jamais vu et entendu au hazjard d'une navigachion tranquille schur youtube, une muzjique exchechivement énervante  de juschtin Bieber ?

Zje veux parler bibibibien chur de  che clip exchechif, baby baby qui fait le buzzj chez les zjadoleschents et les chales connards.

L'écouter plus d'une minute et ch'est immédiatemment des puchtules et des cloques chur la peau, pire, des douleurs atroches et une envie inchurmontable de masschacre. Même mes chicatriches de zjeunessche encore fraiches que zj'ai héritées de mon acchident de travail de 1995 che chont réouvertes.

Infligez-vous juschtin bieber est che chont des litres de chang et de fluide vital que vous perdrez. Les Bertou chont heureuzjement là pour panscher tout cha ! Les Bertou ont zjuchte bezjoin de votre aide, de votre voix, de votre inchulte !PARTICIPEZ ET QU'IL CREVE !

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